a) Antiquité 

           

  La première fois que l'on a parlé des Jeux, c'est dans la littérature ou dans les arts. En effet, dans l'Illiade d'  Homère, il s'agit de Jeux funèbres en l'honneur d'un héros nommé Patrocle, ici la dimension religieuse est très importante. Par la suite, les concours athlétiques s'accompagnent de concours de poésie, de concours musicaux et de lectures publiques d'oeuvres littéraires.

(ruines d'Olympie)

La légende propose plusieurs versions. Celle de Zeus: ce serait lui qui aurait créé  les Jeux après avoir pris le pouvoir. Celle de Pélops: vainqueur de la course de char qu'organise Hippodamie, fille du roi de Pisa, ville proche d'Olympie. Il organise, pour célébrer sa victoire, des Jeux pour les funérailles d'Oenomaos. Celle d'Héraclès: pour un des ces douze travaux, il détourne le fleuve Alphée pour nettoyer les écuries, le roi Augias refuse de lui accorder son paiement, alors Héraclès le tue puis instaure les Jeux. Les traces archéologiques montrent que le site de l'Olympie a été occupé très tôt, 3000 av J.C. Au VIIIè siècle av J.C Iphitos d'Elis réorganise les Jeux et est à l'origine de la numération des olympiades.
A cette époque, le stade n'est qu'un pré qui retourne à la culture en dehors des Jeux. Le site est constitué d'édifices religieux comme l'Héraion dédié a Héra, (épouse de Zeus), le temple et le grand autel de Zeus, le Pélopéion (tombeau de Pélops) et le Métrôon: temple consacré à Rhéa, mère de Zeus, et d'édifices civils et sportifs comme le gymnase et la palestre qui sont utilisés que pour l'entraînement, le stade qui ne comportait pas de gradins, seul les juges avaient une tribune en pierre, l'hippodrome (aucunes traces car pas de constructions en pierres), le Prytanée: il acceuille les prêtres et les magistrats qui y prennent leurs repas, le Bouleutérion: lieu ou se réunissent les magistrats pour la gestion des Jeux et là où les concurrents prêtent serment, et la terrasse des trésors: salles où y est renfermés les amendes payés par les athlètes qui ont triché.
La religion était une valeur très importante à l'époque de l'Antiquité. Tout ces édifices veillaient au respect des valeures grecques fondamentales: l'alliance du beau et du bien, l'émulation entre hommes libres, l'ascétisme physique et moral: mode de vie austère afin de faire dominer l'esprit sur le corps...
Les sites des différents Jeux présentaient des caractéristiques assez proches. Deux espaces distincts structuraient l’implantation du site :
     - L’espace sacré, réservé à la célébration des dieux, regroupait les temples en l’honneur des dieux, les autels pour les sacrifices et les trésors pour les offrandes (vases, statuettes, …).
       - L’espace profane était réservé à la pratique sportive. Il s’organisait généralement autour du gymnase, de la palestre, du stade et de l’hippodrome. Le gymnase et la palestre étaient présents dans chaque cité grecque. Ils constituaient le lieu d’entraînement des athlètes et de l’éducation complète des jeunes garçons (éducation physique, musique, arithmétique, grammaire, lecture).

 
Aujourd'hui, les mythes tels que Zeus, Pélops ou bien encore sur Héraclès ont disparus. Auparavant, ces mythes étaient d'une grande importance, puisqu'ils étaient en rapport avec la religion. Mais aujourd'hui, la religion n'est plus vraiment d'actualité dans les Jeux. Ces mythes ne sont donc plus nécessaire. D'ailleurs, la notion de mythe à plusieurs sens:  ce peut être un récit légendaire mettant en scène des personnages imaginaires tels que des dieux, demi-dieux, héros, d'une façon allégorique ou peut-être une croyance répandue mais infondée. Ce qui explique pourquoi la population n'y crois plus. De plus, les médias remplacent ces mythes par de vraies informations.

 Le terme « Jeux » ne prend pas de dimension ludique, il désigne plutôt des concours: « agônès » en grec. On ne parle pas de sports pratiqués, car dans l'Antiquité, les jeunes hommes s'exercent à la palestre pour être de bons soldats. Ils devaient être capables de défendre leur cité, leur liberté, leur civilisation. Les athlètes se dépassaient dans l'effort physique en l'honneur des dieux. L'exercice physique à une place importante dans la civilisation grecque. La perfection morale et l'excellence physique vont ensemble. Le but est d'obtenir l'équilibre du corps et de l'esprit. Contrairement aux Jeux modernes, les Jeux antiques sont très strictes sur le contexte religieux. Leurs exploits sportifs ne sont pas recherchés pour eux-mêmes mais dans le but d'honorer les dieux. Ce qui explique la présence, à Olympie et dans d'autres sites athlétiques, de monuments religieux tels que des temples et des autels. Ces lieux sont avant tout des sanctuaires.

 

Pour les anciens grecs, l'athlète est un modèle de perfection. Une représentation de la beauté physique et morale. La nudité était obligatoire au gymnase, les athlètes se recouvraient juste d'huile d'olive et de sable. Après la compétition, ils utilisaient un long bâton aplati et recourbé afin d'enlever cette épaise couche protectrice. D'après l'historien André Bernand, l'homme n'avait pas à rougir d'être nu puisque les dieux l'avaient créé ainsi. Parfois cette nudité omniprésente dans les Jeux menait à l'homosexualité.

 

 Récapitulatif

 (source : YOUTUBE) 

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b) Moderne 

C’est en 1884 que de Coubertin adresse une lettre aux organisations sportives de tous les pays où il insiste sur les valeurs fondamentales de l’éducation du sport ainsi que sur les conditions requises pour que la rénovation de l’idéal olympique puisse être envisageable :

« Il est d’ordinaire assez difficile de savoir pourquoi et comment une idée naît -se dégage du flot des autres idées qui attendent leur réalisation- prend un corps et devient un fait. Mais tel n’est pas le cas pour les jeux Olympiques. L’idée de leur rétablissement n’était pas une fantaisie : c’était l’aboutissement logique d’un grand mouvement. Le XIXème siècle a vu partout renaître le goût des exercices physiques : à son aurore en Allemagne et en Suède; à son midi, en Angleterre; à son déclin, aux Etats-Unis et en France. En même temps, les grandes inventions, le chemin de fer et le télégraphe, ont rapproché les distances et les hommes se sont mis à vivre une existence nouvelle [...] peu à peu l’internationalisme s’est glissé sous le sport, avivant l’intérêt, agrandissant la sphère d’action. Le rétablissement des Jeux Olympiques devenait possible [...] le nom s’imposait ; il n’était pas possible même d’en trouver un autre. Leur rétablissement fut décidé à l’unanimité. Nous proposions de les inaugurer en 1900; on préféra devancer cette date. Celle de 1896 fut adoptée et Athènes désignée, sur la proposition de M. Dimitrios Vikélas, comme le lieu où les Jeux seraient célébrés tout d’abord. »

Depuis de nouvelles valeurs sont apparues comme:
    -L'écologie. Il y a six ans, lorsque Londres fût désignée avec succès pour l'organisation des Jeux Olympiques en 2012, les travaux furent immédiatement lancés, posant les fondations d’un héritage qui ne manquera pas d’avoir des conséquences.  Son parc olympique est le parc urbain le plus vaste créé en Europe depuis plus de 150 ans. Les résidences du village où séjourneront les athlètes et les officiels après les Jeux, seront converties en logements. Un grand nombre seront proposés à des professions prioritaires comme le personnel enseignant et médical. Dans le parc lui-même seront construites également d’autres habitations après les Jeux. La structure  du stade est construit de manière durable et recyclable. Il est construit pour résister aux changements climatiques, favoriser la gestion des déchets et la biodiversité. De plus, la flamme sera elle aussi "verte". Pour ce fait, elle brûlera avec un carburant à faible taux de dioxyde de carbone. Cela permettra aussi à la flamme de ne jamais s'éteindre et elle sera visible de jour comme de nuit. Mais tout cela reste encore le début d'un nouveau monde écologique pour les Jeux Olympiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    -Les médias. Ils ont changés énormément de choses. Ils ont contribué au succès des Jeux olympiques et à la diffusion de l'olympisme. En 1936 à Berlin, 200 000 téléspectateurs regardent  tout, ou en partie, les diffusions des Jeux. Avec la télévision, le sport devient mondial. En 1964, pour la première fois, un tiers des images sont retransmises en couleurs. L'olympisme fait alors encore plus figure de pionnier. En 1976, à Montréal, 6500 journalistes couvrent "la fête olympique", elle est regardée par un milliard de téléspectateurs. Ce fût l'essor médiatique. Le CIO et les responsables de marketing des firmes commerciales ont vite compris le bénéfice que les médias apportaient dans les foyers. Le CIO décide donc en 1971 de faire adopter un système lucratif pour instaurer des droits de retransmissions. Ces droits, il les applique aussi pour le COJO (Comité d'organisation des Jeux Olympiques) à titres onéreux (Charte olympique 1984, règle 51). Une ère nouvelle s'ouvre pour le mouvement olympique car à l'avenir, organiser les Jeux ne sera plus un problème financier grâce aux droits de télévision. Au fil des années, le pourcentage sur les droits de télévision augmentent.  Les médias doivent aussi faire des interviews des athlètes, sauf que le "village olympique" est réservés aux athlètes et aux officiels. Il a été décidé d'accorder un temps limités aux journalistes à une condition: avoir une badge signifiant le statut de journaliste.  Nombreux sont les policiers qui surveillent l'enciente afin de garder la sécurité. Pourtant, les médias sont une nouvelle source de représentations puisque au délà des spectateurs présent au stade, nombreux sont ceux qui regarderont les Jeux à la télévision.

 

        
     -L'argent. Il tient les Jeux en otages, en effet, le secteur sportif représente 2,5% du commerce mondial. Prenons le CIO, aujourd'hui il est devenu très rentable puisqu'il perçoit tout d'abord le tiers des droits de télévisions, ensuite il touche 3% des contrats commerciales liés aux J.O et enfin il prend aussi les bénéfices des Jeux. Il faut savoir qu'organiser les Jeux coûte très cher. Il faut construire de nouvelles infrastructures sportives, en rénover certaines. Il faut construire de nouveaux hôtels, un "village olympique". On construit aussi de nouveaux moyens de transports (exemple : le tramway d’Athènes pour les JO de 2004). La ville doit aussi payer le « droit » d’organiser les Jeux Olympiques. Lorsqu'ils se présentent, les pays candidats doivent assurer leur réputation, et prouver leur puissance. C'est pourquoi, Londres, ville organisatrice des JO de 2012, s'endette pour que sa cérémonie soit encore plus spectaculaire encore que celle de la Chine. En effet, la majestueuse cérémonie d'ouverture des JO de Pekin en 2008, a permis à la Chine de s'affirmer face au monde entier. Cet accueil montre à quel point le pays organisateur s'est investit. Les Jeux constituent l’occasion de développer le pays d’accueil en particulier par le tourisme ce qui rapporte un certain gain d'argent.

 

 

       -Les femmes . Dans l'Antiquité les femmes n'étaient pas acceptées parmi les athlètes sous peine de mort. En revanche, les jeunes filles ,ou plus précisément les femmes vierges, avaient le droit de venir en tant que spectatrices, alors que les femmes mariées ne pouvaient pas y participer. Seul à Olympie, les femmes pouvaient venir aux jeux Héréens qui était dédié à la femme de Zeus, la déesse Héra. 
Ceci fut rémédié dès 1900 (Paris) où la gente féminine a fait son apparition. (12 femmes pour 1065 hommes) dans quelques épreuves tels que le tennis et le golf. La première gagnante fût Charlotte Cooper, une joueuse de tennis anglaise. Puis en 1928 à Amsterdam, c'est l'apparition de l'athlétisme féminin. On peut admirer tous ces efforts pour intégrer les femmes aux jeux, maintenant elles sont plus de 4412 sur 10864 ! En 1900, cette proportion est certes très faible mais ne cessera de croitre au fil des olympiades avec plus de 40 % du total des athlètes participant aux JO de Sydney en 2000.   Mais les inégalités sont toujours présente. Par exemple à Vancouver, aux jeux olympiques d'hiver en 2010, les femmes sont exclues du saut à ski. L'ancien maire de Salt Lake City: Deedee Corradini, a déclaré que cette attitude est une "discrimination flagrante et ce geste rappelle l'âge des ténébres". Le C.I.O est responsable de l'élargissement du programme féminin. De tout nouveaux sports ont été inclus parmi les autres sports pour permettre aux femmes de participer aux Jeux Olympiques qui sont des sports mondiaux très important. Par rapport à la participation des femmes au jeux olympiques, les avis ont toujours été partagés. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

       -Jeux paralympiques. Créés en 1948, Sir Ludwig Guttmann organise à Stoke Mandeville (à proximité de Londres, Angleterre) une compétition sportive destinée aux vétérans de la Seconde Guerre mondiale, touchés à la moelle épinière. Aux yeux de ce médecin, les handicapés physiques et visuels doivent pouvoir bénéficier une expérience similaire aux Jeux Olympiques. Des Jeux à l’intention des athlètes handicapés sont alors organisés sur le modèle des JO pour la première fois à Rome en 1960. En 1976 (aux JO de Toronto), de nouvelles catégories de handicaps sont intégrées. La même année, se tiennent les premiers Jeux Paralympiques d’hiver en Suède. Le Mouvement International Paralympique est en marche ! Ils réunissent les athlètes handicapés pour des épreuves handisports. Ces jeux ont lieu tous les quatres ans après les jeux olympiques mais sont organisés par le comité international paralympique et non le comité international olympique. L’organisation des Jeux Paralympiques exige des aménagements importants et organiser les deux Jeux en même temps rendrait leur organisation encore plus complexe et nécessiterait de construire davantage de sites sportifs. A l'heure actuelle ans, les mêmes installations sportives sont utilisées par les concurrents valides et handicapés. Par ailleurs, quelques épreuves de démonstrations sont organisées lors des Jeux valides. C’est le cas du 1500 m fauteuil en athlétisme. Ainsi on observe des différences dans l'organisation et leur devise est "la devise, le corps et l'âme" ce qui représente les composante de l'être humain.

 

 

C'est l'histoire d'un jeune athlète, Yannick, qui a perdu la vue lors d'un accident. La seule discipline qu'il puisse pratiquer avec son handicap, c'est la course. Mais pour cela, il a besoin d'un guide qui sera Leïla, ancienne athlète de haut niveau, sortis de cinq ans de prison. L'entraînement se pratique attaché par un fil. Leïla décide de se taire sur son passé. Yannick, étouffé par les marques de compassion de son entourage, va s’arranger de ce silence. L’entraînement, et puis les projets de compétition vont les aider à se reconstruire, l’un avec l’autre. Mais il y a des histoires passées qui ne vous lâchent pas, et des sentiments présents, des mouvements du cœur, qui bouleversent les trajectoires. Il faudra en passer par là pour un jour entrer dans la ligne droite. Ce film représente parfaitement les difficultés qu'éprouve les handicapés. Dans le même genre, The Ringer: Steve Barker, un pauvre gars malchanceux, doit trouver de l'argent pour payer l'opération que doit subir Stavi, un collègue de travail. Pour ce faire, il demande conseil à son oncle Gary endetté jusqu'au cou. Ce dernier lui propose alors de se faire passer pour un handicapé aux prochains jeux para-olympiques et de battre à plate couture le champion en titre de pentathlon.

 

    -Mascotte. Depuis les Jeux d'hiver de 1968, chaque édition des Jeux (été et hiver) possède une mascotte officielle. Les Jeux para-olympiques disposent aussi d'une mascotte. Les mascottes olympiques sont devenues un élément principal de l'image olympique. Comme image unique et populaire complètement de vitalité, une mascotte peut matérialiser l'esprit olympique, communiquer les concepts du chaque des Jeux Olympiques, favoriser l'histoire et la culture de ville hôte et créer une atmosphère de fête pour les jeux. Les mascottes agissent en tant que véhicule significatif pour communiquer l'esprit olympique au grand public, particulièrement aux enfants et à la jeunesse. Quelque soit les formes qu'elles aient, elles partagent fondamentalement un raisonnement créateur, c'est-à-dire, les mascottes doivent pouvoir donner le thème des Jeux Olympiques, présenter les dispositifs géographiques distinctifs, histoire et cultiver unique à ville hôte.

 

     -La non-discrimination. La Charte est un outil puissant qui affirme le rejet de toute forme de discrimination y compris de race et de sexe. En attendant, LDIF (Ligue du Droit International des femmes), CLEF (Coordination Française pour le Lobby Européen des Femmes), Femix’Sports se mobilisent en vue des prochains Jeux Olympiques d’été de 2012. Pour cela, elles suggèrent  7 impératifs à respecter immanquablement pour que la Charte Olympique, basée sur des valeurs universelles s’applique pleinement. Ces 7 exigences rassemblent :  
  -Refuser la participation des pays qui excluent les femmes de leur délégation.
  -Respecter la neutralité du sport en interdisant le port de signes politiques et religieux.
  -Ne plus cautionner les Jeux séparés pour les femmes institutionnalisant la ségrégation sexuelle dans le sport.
  -Exiger une véritable parité femmes/hommes dans le cadre des disciplines et épreuves aux JO.
  - Respecter et amplifier les minima décidés par le CIO pour la promotion des femmes.
  - Dans et autour des JO : lutter contre les discriminations fondées sur les stéréotypes sexuels.
  - Rendre hommage aux pionnières du sport par un geste symbolique fort : la remise par le Président du CIO de la médaille d’or à la marathonienne comme au marathonien.
Mais il s'agit aussi de la discrimination des races. En 1960, c'est à Rome que les Jeux olympiques furent organisés. Cette competition fut marquée par la première réelle affirmation des noirs en Europe grâce à Abebe Bikala qui remporte le marathon olympique en 2h15min. Et c'est en 1968, après l'assassinat de Martin Luther King, le 9avril, qu'eut lieu la contestation du racisme la plus connue à Mexico. Sur le podium d'athlétisme, deux sprinter noirs américains: Tommie smith et John Carlos, médaillés d'or et de bronze du 200m avaient le bras levé et le point ganté. Par là, ils veulent faire comprendre qu'ils sont contre la marginalité et l'exclusion des noirs aux Etats-Unis et ont porté leur soutien à travers ce geste au mouvement politique "Black Panthers". Pour Tommie Smith et John Carlos, ce geste était le symbole du black power et le gant signifiant "la lutte et la révolte dont la peau brille comme la couleur du cuir noir". Mais leur attitude fut déclarée scandaleuse par le CIO et ordonna aux officiels américains de suspendre Smith et Carlos.

 

     -L'université. Les sports olympiques sont l'ensemble des sports et disciplines qui sont inscrits au programme des Jeux olympiques. L'actuel programme olympique se compose de 35 sports, de 53 disciplines et de près de 400 épreuves. Les Jeux olympiques d'été comprennent 28 sports (et 38 disciplines) et ceux d'hiver 7 sports (et 15 disciplines), sachant qu'il y aussi des épreuves paralympiques. Dans ce grand nombre de sport et de discipline, chacun peut y trouver sa place. Mais l'universalité de concerne pas seulement le sport, il s'agit aussi d'un rassemblement réunissant des milliards de personnes venus de 205 nations. Une grande variété de pays qui donne une certaine harmonie aux Jeux olympiques. Cela permet de faire connaitre les cultures afin de favoriser le tourisme dans les pays sous-développés ou encore inconnus aux yeux du monde. Toutefois, les Jeux olympiques ont deux langues officiels: l'anglais et le français. Partout ces deux langues sont respectés et comprises.

 

 

        -L'anti-dopage. Le CIO va interdire la possession de seringues et autre matériel d'injection à partir des jeux Olympiques de Londres-2012. "Nous ne voulons pas que les traitements aient lieu n'importe où et soient administrés par n'importe qui. Un médecin aura bien évidemment le droit de soigner ainsi un athlète s'il le juge nécessaire mais nous souhaitons être tenus au courant", a dit M. Ljungqvist (le président de sa commission médicale Arne Ljungqvist). C'est un message pour les bonnes pratiques médicales.

 

       -L'éducation des valeurs olympiques. Du 11 au 17 février 2012, une semaine a été organisée par L’Upfr Sports de l’Université de Franche-Comté et son laboratoire culture, sport, santé, société, à l’occasion des futurs Jeux Olympiques 2012 qui était destinée aux lycéens, collégiens, étudiants...    À partir de 2010, les Jeux olympiques accueillent les Jeux olympiques de la jeunesse (JOJ), où les athlètes ont entre 14 et 18 ans. Les JOJ sont créés par Jacques Rogge, président du CIO, en 2001. La décision est approuvée pendant le 119^ème Congrès du CIO. Les Jeux olympiques de la jeunesse d'été de 2010 se sont tenus à Singapour et ceux d’hiver en 2012, à Innsbruck en Autriche. Ces jeux durent moins longtemps que les Jeux olympiques traditionnels. Ceux d’été durent douze jours et ceux d’hiver, neuf jours. 3 500 athlètes et 875 officiels ont participé aux JO d’été de 2010, et 970 athlètes et 580 officiels aux JOJ d’hiver. Les sports au programme coïncident avec ceux des Jeux olympiques traditionnels, cependant le nombre de disciplines et d’épreuves est diminué.

 

 

Les Jeux Olympiques constituent la compétition sportive la plus importante au monde, se distinguant ainsi des autres événements internationaux. Depuis l'Antiquité et même depuis la renaissance des Jeux olympiques grâce à Pierre de Coubertin, énormément de valeurs sont apparues. Chacunes ayant des avantages et des inconvénients. Pourtant, il reste encore des valeurs qui n'ont pas disparues et qui ne sont pas apparues, justement elles ont été transformé.

 

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