• IV- Valeurs transformées

    a) Antiquité 

    Beaucoup de valeurs sont restées de l'Antiquité et se sont transformées. Les pratiques sportives, les rituels et la durée des Jeux olympiques ont changés.

    L
    es différents sports de l'Antiquité étaient :
         -
    Les courses hippiques se pratiquaient dans l'hippodrome. Soit un jokey montait à cru sur un cheval, soit c'était des courses avec des chars. Il y en avait deux sortes, les biges: avec deux chevaux et les quadriges: avec quatre chevaux. L'aurige ou le conducteur d'attelage était l'unique athlète habillé. Les propriétaires des chevaux étaient couronnés et non les auriges. C'était la seul épreuve où une femme pouvait être couronnée en tant que propriétaire de chevaux.

    III- Valeurs disparues et nouvelles

     

         - Le javelot et le disque étaient des épreuves de lancer. Le disque était à l'origine taillé dans la pierre puis ils devinrent en plomb ou en bronze et pesait environ deux kilos, le javelot était lui aussi en bronze et il mesurait 1m80 à 2mètres. 

         -
     La lutte opposait deux concurrents qui étaient choisis par un tirage au sort dans une urne. Les deux athlètes étaient mains nues donc pas d'armes. Cela consistait à faire tomber l'adversaire ou de lui faire toucher le sol. Il était interdit de le mordre ou de le blésser aux parties génitales, mais on pouvait lui casser les articulations. C'était un sport violent.

    III- Valeurs disparues et nouvelles

         - Le pugilat était un sport de combat qui opposait deux adversaires qui se battait à coups de poings. Cela correspond à la boxe actuelle. Parfois les athlètes se protégeaient les mains avec des lanières de cuir. Il était autorisé de les renforcer avec des pièces de métal. Celui qui avait l'avantage pouvait frapper son adversaire au sol jusqu'au « KO ». Il n'y avait pas de sélection par taille ou poids, c'était un tirage au sort.

        - La course à pied était une épreuve avec différentes distances parcourues. En général c'était une longueur de 200 mètres, soit la longueur du stade d'Olympie. La ligne de départ était faite avec des blocs de craie. La trajectoire était droite donc les athlètes couraient en ligne. Il existait aussi le 400 mètres, sur deux longueurs de stade et appelé « diaulos ». Les « dolichos » étaient des courses de fond, s'était sur 7 à 14 longueurs. L'épreuve la plus éprouvante était la course armée, l'athlète devait courir sur 2 à 4 longueurs avec un casque, des jambières, un bouclier et environ 25 kilos d'équipement.

    Dans l'Antiquité les épreuves étaient ouvertes aux citoyens grecs de sexe masculin. Les esclaves et les jeunes filles (vierges) pouvaient assister aux aux épreuves mais en revanche les femmes mariées ne pouvaient en aucun cas venir voir les Jeux. Les jeux d'Héras (femme de Zeus) permettaient à ces femmes mariées de se confronter elles-aussi. Il y avait donc des épreuves athlétiques tous les quatre ans.
    Les entraînements débutent un mois à l'avance. Les athlètes, sous la surveillance des juges (hellanodices) et accompagnés de leur entraîneur, de leurs amis et de leur famille, s'exercent dans le "village olympique" à Elis. Ils sont séléctionnés par leur cité et les juges verifient s'ils ont le niveau requis. L'entraîneur repèrait les meilleurs éléments et les formait, les conseillait, veillait sur leur technique et leur inculquait  la résistance morale pour avoir un meilleur mentale. Les athlètes professionnels étaient entourés de médecins, de masseurs...
    Les grecs ont expérimenté de nombreux régimes alimentaires pour améliorer leur performances. Au menu, de la viande et encore de la viande. Certains conseillaient même de manger de la chèvre pour sauter plus loin. Le palamrès de Dromeus, coureur de fond, dix fois champion, a prouver cette diététique et les autres athlètes commencèrent à manger de la viande. Toutefois,  pour les antiques stadion, les reccords n'existaient pas car il n'y avait pas de chronomètre.
    Les athlètes antiques concouraient nus, comme le prouve les peintures sur vases de l'époque. Ce n'était pas très prudent pour leurs parties intimes, c'est pour quoi, les coureurs s'attachaient leurs parties intimes à laide d'une laisse en cuir qu'ils enroulaient autour de leur taille.
    La vie des athlètes était difficile car ils devaient faire des sacrifices dont l'abstinence sexuelle car les plaisirs n'etaient pas recomandés avant l'effort.
    Lors des courses, les sprinters antiques disposaient de "starting-blocks" faits d'encoches creusées dans la pierre dans lesquelles ils aggripaient leurs orteils. Il n'y avait pas de réglage mais cela permettait déjà d'améliorer la pousée au démarrage.
    Lorsqu'ils gagnaient une épreuve, on ne savait pas vraiment s'ils gagnaient de l'argent car il fallait faire la distinction entre amateurs et professionnels. Il n'y avait qu'un seul vainqueur qui était proclamé dans chaque épreuve. La remise des prix s'enchaînait immédiatement après la compétition entre les athlètes des différentes cités grecques. Le nom du vainqueur était annoncé d'une voie puissante, puis, un juge venait remettre au gagnant une palme matérialiséee par un rameau d'olivier. En fonction des Jeux, la couronne récompensant le vainqueur variait :
        - A Olympie : la couronne d’olivier sauvage
        - A l’Isthme : la couronne de pin
        - A Delphes : la couronne de laurier
        - A Némée : la couronne de céleri
    A cette récompense s’ajoutait la remise d’un ruban de laine rouge (la taenia). Autre signe de victoire, le champion recevait souvent une palme (branche de palmier). Des prix pouvaient également être remis (amphores d’huile d’olive, denrée fort précieuse).
    Cette récompense portait le nom de Kotinos. La scène se déroulait toujours sous les applaudissements et le jet de fleurs des spectateurs. Pour exhiber sa victoire, le vainqueur portait un ruban rouge autour des mains et de la tête. Cette cérémonie, officielle avait lieu dans le hall du temple de Zeus, lors du dernier jour des Jeux Olympiques. Il avait également le droit de consacrer leur statue dans l'Altis. Un vase était aussi remis au vainqueur où y  il était représenté les atlhètes.  A cette époque, nous ne savons pas si le marketing ce fait réellement, en effet, tout bon spectateur qui assisete aux Jeux ne peut rentrer chez lui sans acheter un tee-shirt ou une tasse... Mais pendant l'Antiquité, certains objets comme les vases marqués au nom de l'athlète vainqueur peuvent déjà être considérés comme des produits dérivés.


    V- Valeurs transformées/détournées.     

    (récompense du vainqueur) 

     

    La durée des Jeux Olympique était cinq à sept jours et comprenait une dizaine d'épreuves. Sur cette période, le premier jour était consacré aux sacrifices et aux cérémonies religieuses. Le deuxième jour, commençaient les confrontations des jeunes (course à pied, boxe et lutte). Le troisième jour était le début des Jeux pour adultes (course à pied en stade, double stade, sept stades et le pentathlon et aussi les combats). Le quatrième jour était consacré aux finales de sport de combat et à une course en arme. Le cinquième jour était dédié aux courses hippiques, les jeunes n'y participaient pas. Et le sixième jour était consacré aux vainqueurs où tout le monde était conviés.
    Voici par exemple le programme de la 77ème olympiade (-472)
    (cf. : Violaine Vanoyeke, La naissance des Jeux olympiques et le sport dans l'Antiquité, Paris, 1992) :
        -1er jour : compétitions (agôn), des trompettistes et des hérauts. Prestation des serments. Préparatifs divers.
           -2e jour  : agôn des juniors.  
          -3e jour : (matin) agôn hippique ; (après-midi) pentathlon ; (soir) cérémonie funéraire en l'honneur de Pélops.
          -4e jour : (pleine lune) sacrifice de l'hécatombe par les Eléens.
          -5e jour : (matin) les courses ; (après-midi) lutte, boxe, pancrace, hoplitodrome.
          -6e jour : (matin) récompense des vainqueurs ; (après-midi) repas en l'honneur des hôtes.
    La technique de ses sports et de ces épreuves nous est aujourd'hui connue grâce aux traces laissées par les vestiges et les représentations souvent très fidèles des vases peints.

    Après plus de 1000 ans d’existence, les Jeux furent abolis en 393 ap J.-C. par l’empereur Théodose Ier. Les sites furent alors laissés à l’abandon et livrés aux pillards. Par ailleurs, un tremblement de terre acheva de détruire et d’ensevelir le site d’Olympie. Ce dernier fut redécouvert au XIXème siècle

     


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    b) Moderne 

        

    Le sport d'aujourd'hui diffère de l'Antiquité. Il y a toujours les mêmes pratiques sauf qu'elles sont transformées.

    Le sport:
          -Les courses hyppiques se pratiquent toujours de la même façon.
    Ce qui a changé c'est que l'on peut faire des paris d'argent (PMU), ce n'est plus le propriétaire qui est récompensé, même s'il touche une somme d'argent, mais le cheval. Il augmente son gain au fur et à mesure des ses victoires.

    IV- Valeurs transformées

     

         -Le javelot et le disque sont encore présents mais deux autres épreuves de lancer se sont introduits dans les épreuves modernes. Le lancer de poids et le lancer de marteau qui demandent aussi un très grand effort physique. Les poids varient aussi de 1 à 3 kilos.

    IV- Valeurs transformées

    IV- Valeurs transformées






         -La lutte est devenue judo, le pugilat est devenue la boxe. Ce sont tout de même restés des sports violents et physiques. Aujourd'hui, les athlètes peuvent se protéger les mains avec des gants de boxe assez épais, la tête avec une sorte de casque de la même matière que les gants, une protection pour les dents.

         -La course à pied s'est beaucoup transformée, c'est-à-dire que les épreuves se sont multipliés. Ils en existent de toute sortes, à plusieurs allures et pour tout le monde. La course de sprint est une course où
    le sprinteur doit courir sur une faible distance à la vitesse la plus rapide possible. La course de demi-fond concerne l'ensemble des courses d'athlétisme comprises entre le sprint et le fond (de 800m a 3000m) et qui se déroulent dans une enceinte sportive ou exterieur. Seuls le 800m et le 1500m sont au programme des Jeux olympiques. La course de fond est une activité physique d'endurance qui requiert un bon équilibre énergétique et une forte volonté mentale. Les courses de fond s'effectuent sur des distances supérieures à 3 000m comme le 5 000m, le 10 000m, le cross-country et le Marathon. Le cross-country a lieu en campagne, et en raison de la diversité des conditions et des lieux, il n'y a pas de record mondial dans cette discipline.

    IV- Valeurs transformées

    IV- Valeurs transformées








    Aujourd'hui, tout le monde peut participer aux Jeux olympiques, les hommes, les femmes, les handicapés et même les enfants. Il n'y a plus de différenciation entre les citoyens et les esclaves car l'esclavage a été abolit au 18ème sicècle. Les inégalités raciales ou religieuses ne sont plus acceptées dans les Jeux grâce à la charte olympique est un texte très important au yeux du monde olympique.
    Les entraînements ne se font plus un mois à l'avance mais tout au long de l'année. Les juges ne sont plus obligés de faire acte de présence mais les entraîneurs sont toujours là pour conseiller, former l'athlète. La musculation est devenue la base de l'entraînement pour chercher à allier la beauté et la puissance. Selon les pratiques sportives la méthode de musculation varient mais l'athlète essaye toujours de muscler l'intégrité de sont corps afin de garder une certaine uniformité de ses formes. L'athlète devait aussi travailler sur son mental pour reproduire de belles performances dans les entraînements mais aussi lors des compétitions. La principale méthode est d'imaginer l'accomplissement parfait de la discipline pratiquée, l'exercice peut être chronométré afin que l'athlète se fixe un objectif. Les athlètes prennent toujours soin de leurs corps et ont toujours des médecins et des masseurs à leur disposition.
    De nos jours, les régimes donnés aux athlètes de haut niveau sont riches en protéines. En général, le plat servi la veille d'une compétition est composé de légumes et de viandes.
    Avec les nouveautés des marques de vêtements, les athlètes ont un large choix entre Adidas, Nike, Puma... Ils ont aussi le choix entre le short, le cuissard ou encore la combinaison, cela dépend du goût et du conforme que l'athlète a. Mais l'innovation est présente, les scientifiques du sport cherchent à produire de nouvelles tenues encore plus performantes comme la combinaison de natation qui permettrait de glisser mieux dans l'eau.
    Les athlètes ne font plus acte d'abstinence sexuelle, ils ont des relations comme tout être normal.
    Lors des compétitions et des entraînements, les entraîneurs dont tout leur possible pour améliorer les conditions. Les starting-blocks ont beaucoup changé depuis l'Antiquité, ils sont réglables en fonction de soi et jouent un rôle très important dans la performance. En effet, il améliore la force de poussée au démarrage. En 1896, au 200 mètres, Thomas Burke était le seul à utiliser la méthode des quatre appuis au sol. Il fit récompensé de son choix car il remporta l'épreuve et depuis tout le monde imita sa technique.
    Les reccords, en perpétuel évolution, ils ne cèssent de devenir imbattables. Lorsqu'un athlète détient un reccord, il est la risée de tout les médias et athlètes car il devient en quelques sorte une légende. C'est une référence pour tout bon fan sportif.
    Lorsqu'un athlète gagnait une épreuve il ne recevait pas les mêmes récompences qu'autrefois.
    Depuis les premiers jeux olympiques modernes (en 1896) le vainqueur reçoit une médaille en or, le second reçoit une médaille d'argent et le troisième une médaille de bronze. En fonction du pays pour lequel ils concourent, des récompenses financières peuvent être attribués à ces médailles. Les finalistes des épreuves (les 8 meilleurs concurrents) reçoivent un diplôme olympique. Ces médailles, plus que la valeur réelle du métal, symbolisent la puissance de la nation.

    IV- Valeurs transformées

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    Aujourd'hui, des médailles sont remises aux vainqueurs comme depuis l'époque de Coubertin. Mais depuis, une nouvelle médaille est apparu, une médaille verte. Le fait de gagner n'est plus pour honorer son dieu mais pour honorer sa patrie, sa nation. Pierre de Coubertin le cite lui-même: «En ciselant son corps par l’exercice comme le fait un sculpteur d’une statue, l’athlète antique honorait les Dieux. En faisant de même, l’athlète moderne exalte sa patrie, sa race, son drapeau ».
    Les Jeux olympiques ne sont plus fixes comme dans l'Antiquité où ils se passaient les trois-quart du temps à Olympie, mais sont devenus mobiles. En effet, chaque olympiade se passe dans un pays différent. Le CIO organise des élections pour voter qui sera le pays et la ville hôte des Jeux. La ville doit respecter les principes fondamentaux de la Charte Olympique qui reprennent le respect des Droits de l’Homme et le principe de démocratie. La ville doit respecter les exigences techniques et de sécurité des différentes fédérations sportives. La ville doit pouvoir payer le coût financier des Jeux.

     

    IV- Valeurs transformées

    A l'heure actuelle, les Jeux olympiques ne sont plus divisés en fonction des cités comme dans l'Antiquité, mais sont divisés en fonction des saisons (été et hiver). Ils ne se passent pas sur le même lieu car ce ne sont pas les mêmes épreuves. En général ce n'est pas dans le même pays qu'ils se déroulent. La période à laquelle les Jeux Olympiques doivent avoir lieu se situe, en général, pendant la saison estivale. Cette période est choisie de manière à créer les meilleures conditions de compétitions. Les cérémonies d’ouverture et de clôture ainsi que la grande majorité des épreuves doivent se dérouler dans la ville hôte. Lors des premiers Jeux olympiques modernes en 1896 à Athènes (Grèce), 245 participants de 14 pays étaient présents et 9 sports regroupant 43 épreuves étaient représentées. Dans les Jeux  les plus récents comme en 2004 à Athènes (Grèce), il y avait plus de 10 000 athlètes de 202
    pays et 28 sports regroupant plus de 300 épreuves. Face à la popularité des sports de neige et de glace, le CIO décide d’organiser à titre d’essai « une Semaine Internationale des Sports d’Hiver » à Chamonix
    (France). Le vif succès remporté par cette expérience conduit à déclarer cette « Semaine » comme les premiers Jeux d'hiver. les Jeux d’hiver étaient traditionnellement organisés la même année que ceux dit de l’Olympiade (été). En raison de leur succès, les JO d’hiver prennent progressivement de l’ampleur et le CIO décide de « décaler » l’organisation. Depuis 1994, les Jeux Olympiques d’hiver sont organisés deux ans après le début de chaque Olympiade. Lors des premiers Jeux olympiques d’hiver en 1924 à Chamonix (France), 258 participants de 16 pays (essentiellement européens et nord-américains) étaient présents et 6 sports étaient repésentés. Dans les plus récents comme en 2002 à Salt Lake City (USA), 2399 participants de multiples pays étaient présents et 7 sports regroupant 78 épreuves étaient représentées. 

    IV- Valeurs transformées IV- Valeurs transformées

     

      





    Les Jeux Olympiques modernes se déroulent sur une quinzaine de jours (seize jours au maximum). Ils commencent par une cérémonie d'ouverture qui débute par l’entrée des athlètes dans le stade par délégation (sauf pour la Grèce, en premier, et le pays hôte, en dernier), la proclamation de l’ouverture par le chef d’État du pays hôte, l’entrée du drapeau olympique dans le stade, l’hymne olympique, le lâcher de colombes (symbole de paix), le serment prononcé par un athlète du pays hôte et par un officiel (respect des règles), l’arrivée de la flamme et l’allumage de la vasque (trait d’union avec les Jeux de l’Antiquité). Puis les épreuves se déroulent pendant tout le reste du temps. Le denier jour, les Jeux se terminent par une cérémonie de clôture où l'on fait la remise du drapeau olympique à la ville organisatrice des Jeux suivants (continuité des Jeux), les athlètes sont réunis dans le stade (fraternité),l’extinction de la flamme, la proclamation de clôture par le président du CIO.


    Les Jeux Olympiques sont l'un des évènements les plus célèbre au monde. Un moment où les athlètes partagent ensemble des émotions, des rituels, des valeurs communes. Certes de grands changements ont été réalisé au cours du temps, mais au fond, les Jeux sont restés les mêmes avec parfois quelques transformations. Entre les tensions politiques, la recherche de l'esthétique, de la paix, de l'amitié et du respect, la notion d'olympisme a souffert, mais est toujours présente.


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